Bonjour
Pourquoi laisser ici un témoignage de mon expérience avec Philippe ?
Parce que j'ai eu la chance qu'il me soit recommandé par ma thérapeute, en qui j'ai toute confiance. Je ne pense pas que je serais allée de moi-même taper sur internet "coaching en désintoxication alcoolique".
Ma thérapeute m'a posé une question qui m'a vraiment chamboulée : "Voulez-vous vous sevrer ou être libre ?"
J'avoue que je n'ai pas compris tout de suite ce qu'elle voulait dire, je suis revenue quelques minutes plus tard sur sa question et c'est là qu'elle m'a parlé de Philippe.
J'étais en Burn out professionnel et ma consommation d'alcool était plus que problématique. Elle menaçait mon couple une nouvelle fois. Nouvelle fois car j'avais déjà dû arrêter une dizaine d'année auparavant à plusieurs reprises, même une fois 4 ans d'affilée, puis un jour, on pense qu'on peut juste reprendre un verre sans crainte, comme j'avais cru 30 ans plus tôt pouvoir reprendre une cigarette après également avoir arrêté pendant plusieurs années.
Le problème c'est que, comme me l'avait enseigné un alcoolique venu témoigner dans ma classe il y a des années, quand on arrête de boire, c'est un peu comme si on laissait un tricot dans un tiroir, si on reprend son ouvrage même des années plus tard, il y a toujours cette partie de tricot déjà faite que l'on reprend là où on s'est arrêté et donc, en quelques jours à peine, on reprend la même consommation que lorsqu'on a arrêté.
Ce fut mon cas pour la cigarette (avant que je n'arrête définitivement il y a 23 ans ;-))
Ce fut mon cas pour l'alcool et j'ai failli y laisser ma santé et mon couple.
Après une première séance d'informations avec Philippe (en visio), j'étais sceptique. Mon épouse encore plus.
D'autant que la première étape du coaching (les 2 premiers mois) consistait principalement à m'observer, ce qui signifie que je pouvais continuer à boire de la même façon.
Cette observation nous l'accompagnions de séances de coaching hebdomadaire, en visio et en Forêt.
Ces séances ont fini par me révéler que le produit, l'alcool, n'était pas le problème. Cette prise de conscience a été un déclencheur et m'a permis de passer à la seconde étape, le sevrage. Nous avons fixé une date ensemble afin de mettre toutes les chances de mon côté. J'ai également été accompagnée par mon médecin traitant.
Grâce aux 2 mois de préparation et d'observation, j'ai pu constater la métamorphose qui s'est faite en moi.
Le sevrage de 10 jours s'est très bien passé, à ma propre surprise, pas de manque physique, mais surtout, pas de manque psychologique, j'avais intégré qu'une partie de moi avait besoin d'alcool et que je pouvoir rassurer cette partie,
Cela fait maintenant… (il faut que je calcule, la preuve que je ne lutte pas chaque jour en décomptant les heures, les jours, les semaines ou les mois ;-)) ) 4 mois que j'ai arrêté, je ne dis pas que jamais je ne reprendrai un verre, mais je sais que si un jour j'en reprends un, je serai armée pour me poser les bonnes questions et pour me rappeler qu'il y a quelque chose en moi qui à ce moment-là a besoin du produit, mais que l'alcool n'est pas le problème,
Alors, merci Philippe pour ta disponibilité et ton accompagnement toujours bienveillant.
Patricia, 55 ans, Gembloux