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Récit rando-Bivouac en Pleine Présence au Lac de la Gileppe

« Aimer, c’est l’art d’être en relation avec soi à travers les autres » !

Alors, le désir d’aimer et d’être aimé renaît. Vous prenez conscience que ce n’est pas l’autre qui vous manque, mais l’amour de vous-même à travers cet autre. Vous prenez conscience que l’amour est toujours et sera toujours présent quelques soit la personne qui vous le renvoie.

Dès lors, vous n’êtes plus figé par le souvenir et vous pouvez reprendre votre marche et aller de l’avant dans la vie comme dans la rando-aventure, à la découverte de vous-même et des merveilles que cette intelligence qui nous dépasse, est en train de vous préparer.

Ainsi, sur cette plage, je vais prendre le temps…

Souffrir la mélancolie pour ressusciter l’amour de soi-même, dans le souvenir de l’amour de l’autre !

Il est des formes de souffrances que l’on s’afflige pour des raisons bien plus subtiles que nous ne pouvons les appréhender lorsque nous les vivons. Par exemple, les regrets à outrances et la mélancolie que l’on peut entretenir à propos d’une relation sentimentale pourraient ressembler à la tentation de redonner vie à cette relation.
Lorsque vous vivez dans la mélancolie d’une histoire passée, vous vous gréez autant de souffrance que de réconfort à l’évocation du souvenir de l’autre.
A l’évocation du souvenir de l’autre ? S’agit-il vraiment du souvenir de l’autre ?…

35 ans à Vivre dans la peau d'un autre que soi

J’ai passé pas moins de la première partie de ma vie à porter les costumes trop grand ou trop petit qui m’avaient été prêtés par la société.

Aujourd’hui, je peux témoigner de combien c’est douloureux de chercher malgré soi à vivre dans la peau de tout le monde avec le sentiment de n’être personne…

 

S’éteindre par peur de mourir alors même que l’on possède la vie

Elle se doute combien la mort ne me fait pas peur.

Elle sait que je crains bien plus la vie ou plutôt ce que je crois être ma vie.

Seule elle sait de quelle vie je parle.

Vous savez, cette drôlesse d’existence qui a mon sens n’est pas la vie mais plutôt une vie avec trop peu de vie et trop peu de sens, une vie ou je m’efforce de survivre sans trop réfléchir à qui je suis, me levant chaque matin, empruntant depuis mon lit le même chemin, mettant pied dans chacun des pas que j’ai déposé le jour avant et encore celui d’avant, depuis le départ du lit, au petit matin jusqu’au retour dans ce dernier, à la nuit tombée…

 

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